photo Wolf

Monsieur

Mordeheim Wolf

Chancelier
drapeau

République Fédérale d'Urbania

Ad Augusta Per Angusta

Réponse aux demandes de négociations

Publié le 12/07/2014

Vous nous avez demandé de nous livrer, d'abandonner notre pays alors en pleine crise, d'organiser des pourparlers, des négociations...seulement, avez-vous la moindre idée de pourquoi des attaques extérieures ont été commises ?

Vous venez envahir le pays sur des principes préconçus et indignes de diplomates. Vous faites débarquer sur nos plages plus de 300 000 soldats, ravagez par des bombardements notre littoral et tentez de pénétrer dans notre territoire. 

Puis, vous nous demandez pourquoi nous organisons des attaques à l'extérieur de notre pays... Par ce fait vous vous octroyez d'office le droit d'attaquer sans être attaqué. Vous venez pleurer vos morts et nous accuser d'être des terroristes. Demandez-vous de qui, d'une force d'invasion de plus de 350 000 hommes ravageant une nation, ou de quelques soldats attaquant vos villes pour montrer ce que vous nous infligez, est le plus qualifiable de "terroriste". Car en dehors du sang des bataille, c'est le sang des citoyens Urbaniens qui coule, non sous les chenilles de nos tanks, mais sous les obus de votre artillerie.

Tant que vous ne cesserez pas le feu, aucune négociation ne sera envisageable, et il est inacceptable de nous demander de nous livrer à votre justice corrompue tandis que le précédent gouvernement a perpétré des abominations sous votre misérable face, sans risquer la moindre enquête.

Vous êtes les véritables terroristes, et vous n'avez aucune dignitée, une qualité que vous ne pourrez racheter que si vous stoppez vos crimes sur notre pays torturé par vos armées illégitimes.

 

UNITED REPUBLICAN KRIEGFORCE

Réactions

  • Monsieur Jean Marcham

    Brocélia · Président
    Le 13/07/2014 à 0:12

    Notre artillerie ne fait feu que sur des cibles militaires exclusivement, notre position est tenue à moins de 10km des côtes.

    Cependant, afin d'éviter que des milliers de vies supplémntaires soient perdues, nous accepterions un cessez-le feu sous conditions.

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