Après des décennies passées dans le malaise économique, la région veut se poser sur ses acquis et mieux les développer. La région va donc à nouveau se tourner vers l'industrie pharmaceutique, laissée de côté injustement alors que c'était la grande spécialité de ce département. Ainsi, c'est tout le département du Noé va retrouver d'ici à 2050 l'équilibre budgétaire et économique d'après les spécialistes de la régions.
En mai 2015, Ubiol - notamment leader du secteur pharmaceutique au Polaro - annonce avec les autorités polariennes le lancement d'un plan de plus de 7 milliards de £ à destination de la région pour y construire un immense complexe de recherche et de production. LE CENTRE DE RECHERCHEPoint clé de l'investissement, c'est en partie dans ses bureaux que sont élaborés les nouveaux produits d'Ubiol, le géant de l'industrie pharmaceutique. Cet ensemble dédié à l'entreprise emploi plus de 15 000 personnes et redore le blason d'une ville industrielle en difficulté comme Teroim. Le site dispose d'usines-tests de chaînes de montages et de multiples laboratoires.
Le complexe universitaire de recherche pharmaceutique À l'image de la ville, l'Université était elle aussi mal au point depuis le début de la crise économique. Grâce aux investissements étrangers, elle a put trouver des fonds et à lancée avec la municipalité une série de grands travaux (d'agrandissement comme de modernisation). Aujourd'hui, les vieux bâtiments de briques sont accompagnés de locaux neufs, high-tech pour former les ingénieurs et indirectement les médicaments de demain. Cette université, générale mais assez spécialisée finalement, assure aux bureaux de l'autre côté de la voie de chemin de fer une main d'oeuvre qualifiée et ce sur le long terme.
La gare ferroviaire d'Ubiol