Histoire du pays Saint Empire Constantin
Concertation entre les états-majors
La bataille de Torrence et le pacte de non agression va marquer le début d'une alliance irréfragable entre les nations Queenslandaises et Constantines.
Au XVIIIe siècle, fort de ses nouveaux régiments de fusiliers et de batteries de 12 livres, Jack II dit le Pillard déclara la guerre au Queensland pour assurer la suprématie de la Constancie sur le territoire Volcanien face à cette nouvelle puissance contre l’avis de son état-major qui estimait que les troupes étaient trop peu préparées à des tactiques offensives en territoire mal cartographié. Les craintes de l’état-major se confirmèrent rapidement : Le terrain queenslandais était méconnu des officiers qui n’arrivaient pas à exécuter les manœuvres farfelues du roi qui tenait à diriger lui-même ses armées alors qu’il n’avait aucune expérience militaire. L’expédition se transforma rapidement en débâcle lors de la lourde défaite du 11 mars 1750 où les troupes constantines durent battre en retraite à Torrence devant l’impossibilité de percer les batteries d’artillerie queenslandaises bien organisées et face au danger d’anéantissement que représentait une charge de cavalerie lourde ennemie. Fortes de cette résistance, les troupes queenslandaises menées par le Prince Ramius d'Astor entamèrent une poursuite de l’armée constantine en déroute. Jack II, totalement discrédité, rendit avec dépit le commandement de l’armée à son chef d’état-major pour organiser la défense du reste du corps armé.
Les troupes constantines, remotivées et dirigées correctement par des généraux compétents, repoussèrent les troupes queenslandaises qui s’avancèrent trop près des nouvelles batteries de 12 livres crachant leur mitraille meurtrière lors de la contre-offensive. Le corps queenslandais, privé de son chef tombé lors de l’attaque et trop affaibli par cette attaque pour poursuivre son offensive, envoya des émissaires au camp constantin. Rapidement, le traité de paix initialement rédigé se transforma en traité d’assistance mutuelle sur la volonté des 2 souverains, soucieux d’éviter de potentielles rivalités futures pouvant mener à des guerres meurtrières et vaines. Le pacte de Torrence, signé dans la citadelle du même nom le 11 septembre 1750, de part le mariage de Philippe de Natsukan avec la Princesse d’Astor scella une coopération entre les 2 nations qui demeure toujours intacte jusqu’à aujourd’hui.
Cette période n'a pas encore suscitée de réactions.