Dans les années 20, un groupe de chercheurs aéronautique des laboratoires privés Neopax Corp. étudient la possibilité d'utiliser un nouveau système de propulsion pour les avions produit par l'entreprise. Après des études longues et infructueuses, un premier prototype d'un tout nouveau système sera mis en place: le premier moteur à réaction, en 1924. Le concept ne sera pourtant pas approfondi, la faute à un manque de connaissances techniques pour le rendre intéressant. Cependant, sous l'Empire d'Akitsu, le gouvernement insiste auprès de Neopax afin de développer la technologie. C'est ainsi qu'un avion fonctionnel sorti des hangars de l'entreprise: le Nex 157a, le premier avion à réaction, en 1932. Très léger, et extrèmement rapide (par rapport aux autres aéronefs de l'époque), il a marqué un tournant dans l'industrie aéronautique.

Suite à cette première réalisation, les progrès dans le milieu ne cesseront de s'enchainer, que ce soit à Akitsu, au sein de Neopax ou VL Tech., ou à l'international. La Grande Guerre Gécéenne sera un terrain de jeu immense pour les ingénieurs aéronautiques, car même si le turbopropulseur était encore très en vogue, les avions à réactions étaient également de la partie.

 

 

 

Les iles Cerbères développeront leur moteur à réaction (a hydrogène) au début des années 30. Le gouvernement cherchait alors à avoir une certaine avancé technologique sur les chasseurs deltans. C'est au coeur de la division scientifique de l'armée que les premiers turboréacteur à hydrogène ont émergé en 1933. 

Ses moteurs se sont révélés fiable mais consommaient énormément d'hydrogène. Leurs faible autonomie n'a pas permis de développer des avions de combat longue portée. Ainsi, la flotte de chasseurs des iles Cerbères restera purement défensive. Il faudra attendre les années 50 et les premiers porte avion Cerbères pour avoir une flotte de chasseur plus offensive.

Le perfectionnement de cette technologie dans les années 40 contribuera à la création du programme spatiale du royaume à la fin des années 50.