État de l'Harada

Histoire du pays République d'Harada

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Le Roi Enric Cima

Période du 16 Mai 1854 au 27 Mars 1934 :

79 ans 10 mois 11 jours

 

L'État de l'Harada est le nom du régime politique entre 1854 et le 13 mai 1934. C'est une monarchie parlementaire. Elle est précédée par le Royaume de Turia et suivie par la République de Túrias, après le Coup d'État du 27 mars 1934.

Catégories :

Cette période ne fait partie d'aucune catégorie.

L'État de l'Harada est le régime politique qui perdurera le plus longtemps et qui sera le plus stable, malgré une certaine instabilité politique dans ses dernières années. C'est le régime qui instaurera la liberté d'opinion et d'expression des citoyens à travers le suffrage universel direct des députés au Congrès des Députés lors des élections législatives.

Contexte

L'État de l'Harada a été proclamé le 17 juin 1854, succédant au Royaume de Turia. Cette transition marque un tournant en Harada avec l'établissement d'une monarchie parlementaire destinée à équilibrer les pouvoirs entre le roi et les représentants élus.

Sous ce régime, la monarchie parlementaire est instaurée et a introduit des réformes significatives pour garantir la participation politique et les droits des citoyens. Le roi conservait un pouvoir symbolique et un rôle de chef d'État, tandis que les députés élus détenaient le pouvoir législatif, à la seule exception que le roi conservait son rôle de Chef des Armées.

Institutions

Rôle du Roi

Le Roi représentait essentiellement la Nation lors de rencontres diplômatiques avec d'autres dirigeants étranger, mais ne prenait pas part à la conduite de la politique menée par le gouvernement central. Il restait cependant le Chef des Armées.

Le Congrès des Députés

Le Congrès des Députés était l'organe législatif principal de l'Harada. Composé de députés élus au suffrage universel direct, uniquement pour les hommes jusqu'en 1916, il représentait les différentes régions et factions politiques du pays. il exerçait le pouvoir législatif, budgétaire et de contrôle du gouvernement. Les élections législatives, qui se tenait au scrutin majoritaire à un tour, permettaient aux citoyens d'exprimer leur opinion et d'influencer la direction politique de la nation.

Réformes menées

La liberté d'opinion et d'expression fut également inscrite dans les Textes Constitutionnels de 1854. Les citoyens pouvaient s'exprimer librement, publier des écrits et participer à des débats publics sans crainte de répression. Le droit de vote est accordé pour les plus de 23 ans.

C'est également dans ces textes constitutionnels qu'un important degré d'autonomie ont été accordées aux régions, à travers les statuts d'autonomie. Les comtés autonomes peuvent désormais former un gouvernement, nommé par une assemblée élue au suffrage universel direct.

 Le saviez-vous ? Chaque comté avait sa propre loi électorale pour organiser ses propres élections. En conséquence, dans  certains comtés, le droit de vote a été autorisé pour les femmes dès 1898, avant d'être généralisé en 1916 au niveau national. De même, l'âge minimum n'était pas règlementé pour les élections dans les comtés. Il a existé des électeurs inscrits sur des listes électorales âgés de 15 ans !

Crise et fin de la monarchie parlementaire

C'est à partir de 1920 que le régime s'essoufle. Les élections législatives de 1920 marquent l'entrée de différentes forces républicaines au Congrès des Députés, bousculant la situation politique du pays. Pour contrer les républicains, conservateurs et socialistes forment alors un cordon anti-républicain afin de les écarter de tous postes importants du pays.

En 1925, les républicains parviennent à devenir la première force politique au Congrès des Députés. Une nouvelle fois, conservateurs et socialistes favorables à la monarchie parviennent à empêcher les républicains de former un gouvernement. Mais des tensions entre les monarchistes se forment, en raison des ultra conservateurs qui exigent un retrait des compétences accordées au comtés autonomes, ce que les autres membres de l'alliance refusent.

Les évènements de la Nuit de Sang sonne le glas de la monarchie parlementaire, avec une instabilité politique constante après les élections de 1930. Ce régime prendra fin à la suite de la proclamation de la République de Túrias en 1934.

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